Conseils de Dario Cologna
«J’essaie toujours de me concentrer sur les aspects positifs»
17 août 2021 upsa-agvs.ch – Comment organiser efficacement son quotidien? Que faire quand un collègue est énervant? Comment donner le meilleur de soi-même à l’instant décisif? Pour inspirer les jeunes professionnels, l’ambassadeur de l’UPSA, Dario Cologna, a répondu aux questions de la communauté sur le compte Instagram de metiersauto.ch. Outre des conseils, il y livre aussi des aperçus passionnants de sa vie.
L’interview de Dario Cologna est disponible ici: www.instagram.com/autoberufe.ch/
cst. Si tu devais n’en choisir qu’une, quelle serait la voiture de tes rêves?
Je ne sais pas exactement non plus (il rit). J’ai eu une Audi RS 6 qui était sans aucun doute une voiture de rêve. En ce moment, je conduis une Audi E-Tron, dont je suis aussi très satisfait.
Quel est ton sport préféré en dehors du ski de fond?
J’aime le vélo, qui fait d’ailleurs partie de l’entraînement. Autrefois, je jouais au foot et cela m’arrive encore avec mes collègues, quand nous avons du temps au camp d’entraînement.
Quelle a été ta compétition la plus passionnante?
Les Jeux olympiques de Sotchi, quand j’ai décroché la médaille d’or. J’avais été blessé un long moment et je ne savais pas si j’allais récupérer à temps. J’ai remporté d’emblée la première course en départ groupé, c’était très émouvant pour moi.
Quels sont tes objectifs pour les Jeux olympiques de 2022?
Je veux avant tout décrocher une nouvelle médaille.
Quel genre d’élève étais-tu?
Je dirais que j’étais un bon élève jusqu’à l’école secondaire. J’avais toujours de bonnes notes. Au lycée, le sport a commencé à prendre le pas sur les études, mais je m’en sortais sans trop de mal.
Comment parviens-tu à donner le meilleur de toi-même à l’instant décisif?
Je connais très bien mon corps et je sais exactement ce dont j’ai besoin. Je sais donc ce que je dois améliorer et travailler avant une grande compétition. La plupart du temps, tout se passe bien. Mais bien sûr, le corps ne réagit pas toujours de la même manière.
Comment organises-tu efficacement ton quotidien?
Une bonne planification est évidemment très importante. Je veille à donner la priorité à l’entraînement et à la compétition et à articuler le reste le plus rationnellement possible autour.
Que fais-tu quand un coéquipier t’énerve?
Heureusement, c’est rare, l’ambiance est bonne au sein de l’équipe. Mais quand il y a des problèmes, je recherche le dialogue ou j’essaie de me concentrer sur ce que j’ai à faire.
Quel regard portes-tu sur l’environnement?
Mon métier ne me permet pas de renoncer complètement à la voiture et à l’avion. Mais j’essaie de veiller à des déplacements éco-efficients. Avec le reste de l’équipe, on circule souvent en bus. Côté alimentation, je m’efforce de manger des produits régionaux et de saison.
Quel est ton trajet préféré en voiture?
Je ne dirais pas que j’en ai un. Mais quand je rentre chez moi, dans le val Müstair, j’aime franchir les cols de la Flüela et de l’Ofen.
Comment te relèves-tu d’une défaite?
J’essaie toujours de me concentrer sur ce que la compétition a malgré tout eu de positif. Je détermine ce que je peux améliorer d’ici la prochaine course et je me réjouis de repasser à l’offensive lors de celle-ci.
Je ne sais pas exactement non plus (il rit). J’ai eu une Audi RS 6 qui était sans aucun doute une voiture de rêve. En ce moment, je conduis une Audi E-Tron, dont je suis aussi très satisfait.
Quel est ton sport préféré en dehors du ski de fond?
J’aime le vélo, qui fait d’ailleurs partie de l’entraînement. Autrefois, je jouais au foot et cela m’arrive encore avec mes collègues, quand nous avons du temps au camp d’entraînement.
Quelle a été ta compétition la plus passionnante?
Les Jeux olympiques de Sotchi, quand j’ai décroché la médaille d’or. J’avais été blessé un long moment et je ne savais pas si j’allais récupérer à temps. J’ai remporté d’emblée la première course en départ groupé, c’était très émouvant pour moi.
Quels sont tes objectifs pour les Jeux olympiques de 2022?
Je veux avant tout décrocher une nouvelle médaille.
Quel genre d’élève étais-tu?
Je dirais que j’étais un bon élève jusqu’à l’école secondaire. J’avais toujours de bonnes notes. Au lycée, le sport a commencé à prendre le pas sur les études, mais je m’en sortais sans trop de mal.
Comment parviens-tu à donner le meilleur de toi-même à l’instant décisif?
Je connais très bien mon corps et je sais exactement ce dont j’ai besoin. Je sais donc ce que je dois améliorer et travailler avant une grande compétition. La plupart du temps, tout se passe bien. Mais bien sûr, le corps ne réagit pas toujours de la même manière.
Comment organises-tu efficacement ton quotidien?
Une bonne planification est évidemment très importante. Je veille à donner la priorité à l’entraînement et à la compétition et à articuler le reste le plus rationnellement possible autour.
Que fais-tu quand un coéquipier t’énerve?
Heureusement, c’est rare, l’ambiance est bonne au sein de l’équipe. Mais quand il y a des problèmes, je recherche le dialogue ou j’essaie de me concentrer sur ce que j’ai à faire.
Quel regard portes-tu sur l’environnement?
Mon métier ne me permet pas de renoncer complètement à la voiture et à l’avion. Mais j’essaie de veiller à des déplacements éco-efficients. Avec le reste de l’équipe, on circule souvent en bus. Côté alimentation, je m’efforce de manger des produits régionaux et de saison.
Quel est ton trajet préféré en voiture?
Je ne dirais pas que j’en ai un. Mais quand je rentre chez moi, dans le val Müstair, j’aime franchir les cols de la Flüela et de l’Ofen.
Comment te relèves-tu d’une défaite?
J’essaie toujours de me concentrer sur ce que la compétition a malgré tout eu de positif. Je détermine ce que je peux améliorer d’ici la prochaine course et je me réjouis de repasser à l’offensive lors de celle-ci.
L’interview de Dario Cologna est disponible ici: www.instagram.com/autoberufe.ch/
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