Auto-Suisse
Stabilisation de la part des diesels
3 décembre 2018 agvs-upsa.ch - La part du marché des voitures de tourisme neuves à moteur diesel est sortie du creux de la vague. C’est ce que montrent les chiffres d’Auto-Suisse relatives aux nouvelles immatriculations en novembre 2018.
pd. Parmi les 24’103 (-9,9 % par rapport au même mois de l’année précédente) véhicules immatriculés pour la première fois, exactement 30,0 % (7241 unités) sont munis d’un moteur diesel. S’élevant à 29,9 %, la part de marché des diesels parmi les 272’177 voitures de tourisme immatriculées dans l’ensemble de l’année en cours atteint un niveau similaire. Grâce à une technologie de moteurs de pointe, la demande d’entraînements diesel s’est stabilisée. Le diesel reste un facteur important quant à la réalisation des objectifs de CO2 dans la décennie à venir.
Affichant des parts de marché plus faibles pendant quelques mois, le diesel a de nouveau pu atteindre le seuil de 30 %. La tendance est clairement à la hausse, même si les plus hauts niveaux de quelque 39 % sont encore inatteignables. «Nous avons besoin d’une part minimum de moteurs diesel chez les voitures de tourisme afin de pouvoir respecter les directives plus sévères en matière de CO2 dès 2020», explique le porte-parole d’Auto-Suisse, Christoph Wolnik. Naturellement l’association mise également sur les propulsions alternatives avec son objectif «10/20» visant une part de dix pour cent de voitures neuves électriques ou hybrides rechargeables dans deux ans.
«Les expériences des dernies mois ont montré que trois sur quatre anciens propriétaires de véhicules diesel optent aujourd’hui pour une voiture essence et seul un quart achète un véhicule hybride, électrique ou à gaz. Les moteurs diesel modernes émettent environ 15 % de CO2 en moins qu’une voiture essence comparable et constituent le meilleur choix du point de vue économique pour les kilométrages plus élevés», ajoute Wolnik. Les essais actuels du TCS prouvent qu’ils permettent également de réaliser des valeurs limites d’émission plus faibles pendant la conduite lors de conditions plus difficiles telles que les altitudes plus élevées et les pentes plus raides comme on les connaît en Suisse.
Néanmoins, les propulsions alternatives ont elles aussi gagné du terrain. Après onze mois, 19 032 voitures de tourisme munies d’un tel entraînement ont été mises en circulation sur les routes suisses et de la principauté du Liechtenstein. Cela correspond d’ores et déjà à une hausse de 1463 par rapport à l’ensemble de l’an 2017. La part du marché après onze mois est de 7,0 %, après 5,6 % l’année dernière. A noter que le diesel électrifié connaît également un essor comme version hybride, avec un taux de croissance de 167,8 %.
pd. Parmi les 24’103 (-9,9 % par rapport au même mois de l’année précédente) véhicules immatriculés pour la première fois, exactement 30,0 % (7241 unités) sont munis d’un moteur diesel. S’élevant à 29,9 %, la part de marché des diesels parmi les 272’177 voitures de tourisme immatriculées dans l’ensemble de l’année en cours atteint un niveau similaire. Grâce à une technologie de moteurs de pointe, la demande d’entraînements diesel s’est stabilisée. Le diesel reste un facteur important quant à la réalisation des objectifs de CO2 dans la décennie à venir.
Affichant des parts de marché plus faibles pendant quelques mois, le diesel a de nouveau pu atteindre le seuil de 30 %. La tendance est clairement à la hausse, même si les plus hauts niveaux de quelque 39 % sont encore inatteignables. «Nous avons besoin d’une part minimum de moteurs diesel chez les voitures de tourisme afin de pouvoir respecter les directives plus sévères en matière de CO2 dès 2020», explique le porte-parole d’Auto-Suisse, Christoph Wolnik. Naturellement l’association mise également sur les propulsions alternatives avec son objectif «10/20» visant une part de dix pour cent de voitures neuves électriques ou hybrides rechargeables dans deux ans.
«Les expériences des dernies mois ont montré que trois sur quatre anciens propriétaires de véhicules diesel optent aujourd’hui pour une voiture essence et seul un quart achète un véhicule hybride, électrique ou à gaz. Les moteurs diesel modernes émettent environ 15 % de CO2 en moins qu’une voiture essence comparable et constituent le meilleur choix du point de vue économique pour les kilométrages plus élevés», ajoute Wolnik. Les essais actuels du TCS prouvent qu’ils permettent également de réaliser des valeurs limites d’émission plus faibles pendant la conduite lors de conditions plus difficiles telles que les altitudes plus élevées et les pentes plus raides comme on les connaît en Suisse.
Néanmoins, les propulsions alternatives ont elles aussi gagné du terrain. Après onze mois, 19 032 voitures de tourisme munies d’un tel entraînement ont été mises en circulation sur les routes suisses et de la principauté du Liechtenstein. Cela correspond d’ores et déjà à une hausse de 1463 par rapport à l’ensemble de l’an 2017. La part du marché après onze mois est de 7,0 %, après 5,6 % l’année dernière. A noter que le diesel électrifié connaît également un essor comme version hybride, avec un taux de croissance de 167,8 %.