Chiffres de vente mai 2020
Un marché automobile en perte de vitesse
2 juin 2020 agvs-upsa.ch – La dégringolade du marché automobile suisse due à la crise du coronavirus s'est poursuivie en mai. En effet, au cours du mois écoulé, seules 13 890 voitures de tourisme neuves ont été immatriculées, c'est-à-dire 50,5 % de moins qu'il y a une année.
Les hybrides enfichables ont été l'un des rares types de systèmes d'entraînement à afficher un résultat positif en mai. Source : Ford
pd. Après une baisse de 67,2 % en avril, la réouverture des showrooms le 11 mai n'a donc pas encore eu d'effet de relance sensible. Depuis le début de l'année, le secteur automobile suisse enregistre une baisse de 38,9 % des nouvelles immatriculations de voitures particulières par rapport à l'année dernière. Une amélioration ne peut probablement être attendue que pour le second semestre.
Depuis trois semaines, les clients peuvent à nouveau visiter les expositions de véhicules des agents de marque officiels et se faire conseiller. Tout cela naturellement dans le respect des règles strictes en matière d'hygiène, en vue de contenir la propagation du COVID-19. Le redémarrage de l'ensemble des chaînes d'approvisionnement et de production dans l'industrie automobile jusqu'à la livraison des véhicules commandés est une tâche herculéenne, dont la réalisation complète prendra encore quelques semaines, voire quelques mois. Toutefois, des véhicules neufs sont entre-temps aussi disponibles en stock en Suisse. Mais les incertitudes économiques se traduisent par une faible demande. Le nombre de 78 724 voitures de tourisme mises en circulation pour la première fois depuis le début de l'année en dit long. A titre de comparaison, le volume du marché était de 128 745 immatriculations après cinq mois en 2019.
"Les réseaux de nos membres sont heureux de pouvoir à nouveau accueillir des clients dans leurs showrooms", dit le porte-parole d'auto-suisse, Christoph Wolnik, "mais ils ressentent évidemment l'attitude réservée des consommateurs". La demande de la mobilité automobile a certes progressé en raison de la pandémie, mais cela ne s'applique pas nécessairement au marché des véhicules neufs. "Ceux qui n'avaient pas encore ou plus de voiture cherchent plutôt des occasions ou commencent par tester ce que veut dire avoir son propre véhicule avec un abonnement d'auto", poursuit Wolnik. Selon lui, auto-suisse ne s'attend pas à un retour en force des nouvelles immatriculations de voitures de tourisme avant, au plus tôt, août ou septembre.
Les hybrides enfichables ont été l'un des rares types de systèmes d'entraînement à afficher un résultat positif en mai. Source : Ford
pd. Après une baisse de 67,2 % en avril, la réouverture des showrooms le 11 mai n'a donc pas encore eu d'effet de relance sensible. Depuis le début de l'année, le secteur automobile suisse enregistre une baisse de 38,9 % des nouvelles immatriculations de voitures particulières par rapport à l'année dernière. Une amélioration ne peut probablement être attendue que pour le second semestre.
Depuis trois semaines, les clients peuvent à nouveau visiter les expositions de véhicules des agents de marque officiels et se faire conseiller. Tout cela naturellement dans le respect des règles strictes en matière d'hygiène, en vue de contenir la propagation du COVID-19. Le redémarrage de l'ensemble des chaînes d'approvisionnement et de production dans l'industrie automobile jusqu'à la livraison des véhicules commandés est une tâche herculéenne, dont la réalisation complète prendra encore quelques semaines, voire quelques mois. Toutefois, des véhicules neufs sont entre-temps aussi disponibles en stock en Suisse. Mais les incertitudes économiques se traduisent par une faible demande. Le nombre de 78 724 voitures de tourisme mises en circulation pour la première fois depuis le début de l'année en dit long. A titre de comparaison, le volume du marché était de 128 745 immatriculations après cinq mois en 2019.
"Les réseaux de nos membres sont heureux de pouvoir à nouveau accueillir des clients dans leurs showrooms", dit le porte-parole d'auto-suisse, Christoph Wolnik, "mais ils ressentent évidemment l'attitude réservée des consommateurs". La demande de la mobilité automobile a certes progressé en raison de la pandémie, mais cela ne s'applique pas nécessairement au marché des véhicules neufs. "Ceux qui n'avaient pas encore ou plus de voiture cherchent plutôt des occasions ou commencent par tester ce que veut dire avoir son propre véhicule avec un abonnement d'auto", poursuit Wolnik. Selon lui, auto-suisse ne s'attend pas à un retour en force des nouvelles immatriculations de voitures de tourisme avant, au plus tôt, août ou septembre.
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