Cardossier
Cardossier entend sécuriser les données automobiles
Le 12 mars 2019 upsa-agvs.ch. Au Salon de l’auto, des entreprises de renom, des universités et des agences gouvernementales suisses ont annoncé la fondation d’une association nommée Cardossier. Le projet entend imposer de tout nouveaux standards dans la gestion des données automobiles.
kro. L’association développe, orchestre et exploite la plate-forme Cardossier, qui représente numériquement sur une blockchain tout le cycle de vie d’un véhicule pour tous les partenaires du marché de manière sécurisée (parce que non modifiable) et compréhensible. Cardossier doit tout d’abord s’établir comme un standard à l’échelle suisse pour l’échange de données et le développement de processus interentreprises dans l’industrie automobile. L’objectif est d’établir la confiance et de rendre la situation claire pour le commerce. En même temps, Cardossier souhaite accroître l’efficacité dans l’écosystème automobile : aujourd’hui, les données d’un véhicule sont en général saisies plusieurs fois ; à l’avenir, elles ne le seront plus qu’une fois. Ces données seront ensuite rattachées au véhicule pour tout son cycle de vie et consultables par les vendeurs et les acheteurs de voitures professionnels et privés, mais aussi les importateurs, les assureurs et les offices de la circulation routière.
Sans l’UPSA ni auto-suisse, pour l’instant
Les membres fondateurs de l’association à l’origine du projet sont AdNovum, l’université de Zurich, la Haute école de Lucerne (informatique), les partenaires industriels Amag, AXA, Mobility et l’office de la circulation routière d’Argovie. Sont également membres fondateurs Amag Leasing, Auto-i-dat AG, Audatex, Autoscout24, PostFinance et l’Association Suisse des Sociétés de Leasing. À la question de savoir pourquoi ni auto-suisse, qui réunit les importateurs automobiles, ni l’UPSA, qui représente la branche automobile et donc le commerce, ne font partie du projet, il a été répondu lors de la conférence de presse qu’il n’aurait tout simplement pas été possible, pour des raisons de capacités, d’intégrer des partenaires supplémentaires, mais que le dialogue avec des partenaires potentiels serait ouvert lors d’une étape ultérieure.
Des entreprises de renom, des universités et des agences gouvernementales suisses ont annoncé la fondation d’une association nommée Cardossier.
kro. L’association développe, orchestre et exploite la plate-forme Cardossier, qui représente numériquement sur une blockchain tout le cycle de vie d’un véhicule pour tous les partenaires du marché de manière sécurisée (parce que non modifiable) et compréhensible. Cardossier doit tout d’abord s’établir comme un standard à l’échelle suisse pour l’échange de données et le développement de processus interentreprises dans l’industrie automobile. L’objectif est d’établir la confiance et de rendre la situation claire pour le commerce. En même temps, Cardossier souhaite accroître l’efficacité dans l’écosystème automobile : aujourd’hui, les données d’un véhicule sont en général saisies plusieurs fois ; à l’avenir, elles ne le seront plus qu’une fois. Ces données seront ensuite rattachées au véhicule pour tout son cycle de vie et consultables par les vendeurs et les acheteurs de voitures professionnels et privés, mais aussi les importateurs, les assureurs et les offices de la circulation routière.
Sans l’UPSA ni auto-suisse, pour l’instant
Les membres fondateurs de l’association à l’origine du projet sont AdNovum, l’université de Zurich, la Haute école de Lucerne (informatique), les partenaires industriels Amag, AXA, Mobility et l’office de la circulation routière d’Argovie. Sont également membres fondateurs Amag Leasing, Auto-i-dat AG, Audatex, Autoscout24, PostFinance et l’Association Suisse des Sociétés de Leasing. À la question de savoir pourquoi ni auto-suisse, qui réunit les importateurs automobiles, ni l’UPSA, qui représente la branche automobile et donc le commerce, ne font partie du projet, il a été répondu lors de la conférence de presse qu’il n’aurait tout simplement pas été possible, pour des raisons de capacités, d’intégrer des partenaires supplémentaires, mais que le dialogue avec des partenaires potentiels serait ouvert lors d’une étape ultérieure.
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